Nos conseils pour investir en loi Pinel
Investir dans n’importe quel domaine suppose une instruction préalable sur les modalités, avantages et risques liés au domaine d’investissement. Alors, pour investir en loi Pinel, vous devez aussi vous renseigner suffisamment sur ses facteurs clés afin de pouvoir mettre de votre côté tous les atouts de réussite. Découvrez dans cet article conseils et astuces susceptibles de vous aider à mieux organiser votre investissement en loi Pinel.
Loi Pinel : Voici une liste de conseils pour optimiser votre réussite
La loi Pinel est une mine d’avantages qui ne laisse aucun choix aux investisseurs. Néanmoins, il est nécessaire de s’imprégner de son fonctionnement pour ne pas avoir à le regretter. Pour y arriver, nombreux sont les paramètres à prendre en compte. Ils se présentent comme suit :
Savoir choisir un emplacement adéquat
La localisation du logement est la priorité de tout investisseur immobilier. En effet, plus vous implantez l’habitation dans une ville active, plus vous vous donnez les chances de vite louer et de rentabiliser votre investissement. Et sur la base de ce critère de dynamisme et de forte densité démographique, les cités comme Paris, Bordeaux, Nantes, Toulouse ou Lyon sont des cibles idéales.
À ce titre, les entourages d’hôpitaux, de centres commerciaux, universitaires, éducatifs et des circuits de transport sont les plus adaptés à un logement Pinel. Ces dernières favorisent la croissance économique durable et la création d’emplois. Rappelons que la zone d’investissement immobilier a été bien définie par la loi Pinel.
Pour souscrire à la loi Pinel, vous devez choisir entre la zone A bis, A, B1, B2. Et à chaque zone, correspond un plafond de loyer spécifique. C’est un paramètre à prendre en compte pour garantir la rentabilité de l’investissement. Par ailleurs, la zone B2 est couverte par la loi Pinel jusqu’au 31 décembre 2018. Nous pensons donc qu’elle est actuellement la plus adéquate pour un choix judicieux de l’emplacement.
Bien sélectionner son locataire
Les imprévus dans les placements Pinel peuvent s’avérer préjudiciables à la rentabilité de l’investissement. Mais vous pouvez l’éviter. Il suffit de vous assurer de la situation salariale de votre locataire qu’il soit particulier ou non. Vous pouvez par exemple avoir une idée de son contrat de travail ou étudier la régularité de sa solvabilité à travers ses derniers avis d’imposition.
La mise en rapport du revenu fiscal référentiel du locataire avec le plafond des ressources fixées est aussi une piste à exploiter. Tout ceci vous permettra de ne pas tomber dans l’inconstance et le retard de paiement des locataires. Vous pouvez aussi fixer un loyer raisonnable qui attire les locataires.
Définir avec minutie son engagement locatif
Face aux avantages mirobolants de la loi Pinel, la plupart des investisseurs s’emportent et s’éloignent des précautions à prendre pour protéger leur investissement. Attention aux différentes modalités d’engagement locatif Pinel. Vous avez le choix entre les durées de 6, 9 et 12 ans maximum.
Vous devez opter pour un engagement locatif à la limite des moyens dont vous disposez. Vous devez choisir tout en gardant à l’esprit que vous allez faire face au remboursement. Cela vous oblige à vous approprier l’objectif de la défiscalisation, ses forces et ses limites. Il est donc souhaitable que vous commanditiez une estimation de gains pour savoir à quoi s’en tenir.
Se faire assister par un professionnel
La procédure de préparation de déclaration fiscale en Loi Pinel semble complexe. C’est bien un exemple parmi tant d’autres qui vous oblige à vous faire aider par quelqu’un qui s’y connait. Faites simplement appel à un conseiller en gestion de patrimoine. Il saurait mettre à votre service ses expériences et ses recommandations pour faire de votre investissement un succès.
Comment gérer la fin de l’engagement locatif ?
Lorsque le mode d’engagement locatif choisi arrive à terme, il est important de faire le bilan et de réorganiser la gestion de votre patrimoine. Pour ce faire, trois possibilités s’offrent à vous :
- continuer à louer votre logement si vous avez déjà atteint les 12 ans maximum
- vendre le logement
- conserver l’habitation pour y vivre.